Les rives du lac Trunt

Thom decida de se reposer, aprés sa logue marche, il avisa un vieux chêne et il décida de monter dedans pour se reposer. au moment de se coucher, il réalisa que quelqu'un d'autre dormait dans l'arbre. Il sortit ses sabres les mirt sur la gorges de l'étranger et il lui dit : "Qui es-tu? Si tu tiens a ta vie , je te conseille de répondre".

Je commencais tout juste a m'endormir, quand je sentis quelque chose de froid sur ma gorge. Tout de suite, je reconnus le toucher de l'acier. Je ne savais pas qui, mais on me menacait. J'étais en équilibre entre deux branches. Je savais que je ne bougeais jamais, quand je dormais, un réflexe venu avec le temps. Jer ne cherchais donc pas des endroits ou je ne pouvais pas tomber, mais plutot des endroits pou j'étais caché du sol, mais ou j'avais une belle vue sur le ciel. Apparament e n'étais pas assez bien caché. Je n'eus pas le temps de voir l'adversaire qui tentait de m'abattre, ou du moins de me questionner. Je resserai mes bras contre mon corps, t assai entre deux branches. Je m'accrochai a une autre branche un peu plus bas, et lme rétablis, quelques mètres sous mon adversaire, un jeune homme qe les feuilles me cachaient en partie. Je tirai moi aussi mes deux sabres, en équilibre sur une épaisse branche, et levai les yeux. Cet homme semblait a première vue de meme niveau que moi. Je décidai de lui répondre, ca ne pouvait de toute facon pas me nuire.

-Je suis Laïaga Sin'Saïan.

Je ne savais pas pourquoi mon nom comportait une particule. Je n'étais pas un noble et ne possédais pas de terres. Pour autant que je sache, seuls les nbles avaient une particule dans leur nom de famille. Et la bourgeoisie ne m'attirait pas outre mesure...Mon père m'avait cependant dit qu'il signifiat quelque chose, ce "Sin'". Mais je ne savais quoi...encore un mystére a résoudre dans la bibliothéque de la ville. Je lui avais répondu, a lui de se présenter.

-Et toi qui attaque les honnetes gens pendant leur sommeil, qui es-tu?

Je m'apelle Thom Malaria, excuse moi de t'avoir attaqué durant ton sommeil, mais je pensé que l'on m'attaqué.Je sui s vraiment désolé.

Au fait je m'apelle Thom Malaria.Si tu veux demain nous pourrons continuer notre route ensemble.

J'éclatai de rire, sans toutefois ranger mes armes. O ne sait jamais les ruses que peuvent employer les forbands, il faut rester sur ses gardes. N'empeche, lui, pour un brigand, je e trouve trop amical...Finalement, je rangeai mes sabres dans leur fourreau, et restai sur ma branche, en équilibre.

-Alors toi tu vois un homme dormir et tu penses que l'on t'attaque?

Puis je réfléchis a sa proposition. Voyager seul ne m'avait jmais plu, et avoir un compagnon de route ne pouvait que m'apporter du bon...

-C'est d'accord, nous ferons la route ensemble.

"Je suis désolé, mais en ce moment j'i été attaqué a de nombreuses reprise, mon maître est mort il y a quelques jours.. enfin dormons la route sera longue demain. ah oui au fait je m'appele Thom, et je suis en quête de l'épée de vérité, sache que si je te dis cela c'est parce que je te fais confiance, alors, ne me trahis pas..."

Je souris a cette évocation. Je ne trahissais jamais personne, question de principe. J'attachais une grande importance a l'hoonneur.

-Tu peux me faire confiance, ne t'en fais pas.

Cependant, il évoquait la quelque chose que je ne connaissais pas. Cette épée m'était inconnue. D'ailleurs, je ne savais pas grand chose sur les diverses légendes de ces terres. J'ai véécu en hermite, ou presque.

-Quelle est cette épée dont tu parles?

Je me demandias quelle épée pouvait porter un tel nom. Mais rien que de la savoir nommée comme ca me donnait envie de l'aider dans sa quête.

"Je ne le sais pas, mon maître a sa mort m'a demandé de partir en quête de l'épée de vérité, alors..."

C'était une entreprise bien hasardeuse de se lancer ala poursuite d'une épée dont on ne sait rien si ce n'est le nom. Je ne savais pas si je l'accompagnerais jusqu'a la fin de sa quete. Je ne ferai peut-etre qu'un bout de chemin a ses cotés. Néammoins, j'avais toujours quelque chose a faire en ville, et nous n'avions toujours pas dormi. Il serait peut-etre temps.

-C'est tou ce que tu sais de cette épée? Quoi qu'il en soit, reparlons en demain. Je suis fatigué...

A nouveau, je me calai entre deux branches, en dessos de Thom. Je le voyais en partie a travers le feuillage. D'ici, je ne voyais plus les étoiles. Mais cette fameuse épée occupait e toute facon mon esprit...

Eïfir, qui était partit de sa maison, rencontra deux voyageur.
Il connaissait le lac comme sa poche, ses alentours, et tout, mais il voyait rarement des vogageurs...
Il avait emporté son sabre, qu'il affectionner tant, son seul objet particulier, en fait, et bien sûr son arc.
Mais il n'avait aucune intention de se montrer menaçant, et de tout de manière, il aimait plus l'épée que l'escrime, et son arc lui servait a chasser.
Il s'approcha d'eux.
Il faisait nuit, mais il voyait les yeux ouverts des deux jeunes gens...
"Bonjour, voyageurs ! Je voix peu de monde vers ce coin du lac, d'habitude.
J'habite près d'ici. Me feriez vous le plaisir de venir prendre un thé dans ma modestre demeure ? Je vis souvent seul, et un peu de compagnie ne serait pas pour me déplaire !
Et vous le verez, mon thé est très bon ! Et j'ai également des petits biscuit que j'ai acheté dans le village d'à côté, ils sont excellent ! Surtout dans le thé !
Alors ?"
Il ésperait de tout coeur qu'ils accepteraient, car un peu de soleil dans sa maison ne serais pas de refus...
"Au fait, je m'appelle Eïfir. Puis=je avoir le plaisir de connaître vos noms, s'il vous plaît ? Mais je ne veux surtout pas paraître indiscret..."

Je regardai le nouveau venu. Il attendait au pieds de lm'arbre, qui se révélait décidément une bien piétre cachette, je devais bien l'avouer. Il nous proposait d'aller dormir chez lui. C'était sympa de sa part, mùais cc'était bien dommage, une dernière nuit a la belle étoile ne m'aurait pas fait de mal. Je vis aussi qu'il portait au coté un sabre, qui semblait de très bone facture. Bref, il avait tout l'air de savoir sa battre. Les personnes qui se battent au sabre, je l'ai remarqué, sont rares. Ca fait toujours plaisir de voir que je ne suis pas le seul...Cependant, je n'apprécias pas spécialement le thé. Mais s'il est bon alors..on poeut toujours attendre un miracle.

-Bonjour a toi. Je suis Laïaga Sin'Saïan. Je ne suis pas d'ici, mais c'est vrai que c'etst un peu mort. Ces ciontrées sont-elles inospitaliéres?

Je réfléchis a sa proposition. Il semblai vraiment tenir a nous voir chez lui?. Et puis dormir dans une demeure en dehors de la ville, ca sera quand meme dormir près de la nature, d'une certaine facon. J'étais pret a accépter, mais pas a laissr Thom tout seul nnon plus.

-Qu'en penses-tu, on y va?

Je suposais qu'il ne dirait pas non non plus. Je suppose qu'il doit y avoir que moi qui aime dormir dans les arbres, inconfortablement callé ehtre deux branches. Et puis après tout, un peu e compagnie ne fait jamais de mal.

"Non, elles ne sont pas inhospitalières, mais il y a plus de monde vers la-bas..."
Il tendit le bras vers l'ouest du lac.
"vers Hartland...Mais non, il y a énormement de vie, mais pas humaine...
je connais la région comme ma poche, j'adore me promener, et ma maison et vraiment en pleine nature, je ne suis aps fréquamment dedans.
Puis je vous appeller Laïaga, monsieur ?
Et je me ferai le plaisir de vous servir un repas a vous deux..."

Mon sourire s'élargit tandis que je sautais a tere. Si on me propose un repas, alors...Je regardai a nouveau Thom, toujours en haut.

-Tu viens ou pas?

Et puis, si sa maison est en pleine nature, ac devrait m'aller. J'aime bien la nature. D'aileurs, quand j disasi que c'était mort, je pensais seulement aux humains. Les animaux pullulent dans le coin, les végétaux aussi bien sur.

-Bien entendu, appelez-moi Laïaga,n et puis tutoyons nous, c'est génant sinon...

"Vous tutoyer ? Mais...Enfin, j'ai peu l'habitude de tutoyer les gens."

Je regardai alentour, les rives du lac, aussi loin que portait mon regard. Mais comme la première fois, je ne voyais pas la demeure d'Eïfir. Ou alors elle était bien cachée. Je verrai bien quand nous y serons. Puis je reportai mon attention sur mon interlocuteur. Il ne doit pas avoir l'habitude de voir du monde en effet. Je souris, avant de répondre:

-Il faut un début a tout...Vous finirez par en avoir l'habitude, va...

"Au fait, j'ai une qualité dont je suis fier, je suis persipace.
Et je remarque que vous m'avez tutoyez tout a l"heure, en me disant bienvenue a toi, puis vouvoyez, et la, vous me dites : vous finirez par en avoir l'habitude, VA.
Vous changez vite, c'est assez marrant...Bon, tutoyons nous, ca arrengera tout le monde."

J'éclatai de rire. En effet, je l'avais totoyé au début, sans y faire attention, puis j'avais pris le vouvoiement comme le voulaient les bonnes manières. Quant au "va", c'est une une simple expression. Ce n'était pas vraiment a lui que s'adressait le "va", donc je ne l'ai pas vraiment tutoyé sur la fin. Mais le mieux est encore de se tutoyer tout le temps, ca réglera bien des problémes.

-En fait, quand j'ai dit "va", c'est pas vraiment a toi que je parlais...

"Mouais. N'empêche...
Bon, vous manguez quoi d'habitude ? Je n'ai rien chez moi, mais si je dis ça maintenant, c'est que je suis bon chasseur, d'ailleurs j'ai plutot interet, vu que je ne vis que de ça..."
il sortit son arc, et a une vitesse folle plaça une flèche sur la corde, banda l'arc et relacha sa pression.
La flèche, rapide comme l'éclair, vint se nicher dans la patte gauche d'une biche.
Puis une deuxième flèche la suivit, venant percer le coeur de la biche.
"A manger..."

He souris a nouveau, en pensant que moi je n'avais jamais tenu un arc, ou presque. Cet art, car c'en était bien eux, ne m'interressait pas. Certes, chasser avec un sabre, c'est pas pratique, mais j'arrivais toujours a me débrouiller un peu de nourriture. Par la cueillette, en général.

-En général, j'ai pas vraiment le choix. Donc je mange de tout...Mais une biche est un luxe pour moi...

Je l'avais regardé tuer l'animal a une vitesse fulgurante. Il tirait vraiment bien, ca doit etre le fruit de plusieurs anné&es, de toute une vioe en fait, d'entrainement. Je maitrisis moi meme certaines armes de jet, mais l'arc ca me passe au dessus de la tete.

-Thom mon ami, si on me pmorpose de la viande, je ne peux qu'accepter, libre a toi de venir...mais j'aimerais autant que tu viennes!

(bon, il est pas la, Thom, tu nous rejoinq quand tu te connect si tu veux)
"Bon, allons-y, ce Thom doit dormir..."

Je regardai a nouveau Thom, qui n'avait toujours pas bronché. Ca me peinait un peu de le laisser comme ca, mais l'appel du ventre fut trop fort. Je me mis donc en marche aux cotés d'Eïfir, vers sa maison, bien que je ne sache pas ou elle se trouvait.

-Bon ben on te gardera une part, Thom...

Puis je repensais a sa quete, sur laquelle je ne savais rien, mais qui m'intriguait cependant.

-Eïfir, que sais(tu sur une certaine "épée de vérité"?

--------> ma maison

(sorry j'étais en vacances et je repart bientot)
Thom se réveilla et vit que Laïga était parti, il remarqua un mot posé sur une branche, il le lut. laïga li disait qu'il était parti avec un homme nommé Eifir. Thom sauta de sa branche et partit sur les traces de Laïga