Traversée...

je m'arretais doucement, puis dis a eifir:

"Eifir, nous avançons a taton ici, qui ici est déja allez en contrées du milieux?"

"Personne a part moi. mais c'était quand il y avait vraiment la frontière...Et, il n'y avait pas cet orage..;"

"Je ne le sens aps vraiment... Bon continuons, mais passe devant."

Je talonnai mon cheval, qui partit au triple galop. Nus avancions en plens dans l'orage, et la foudre frappait autour de nous, mai seulement autour...Comme si elle nous visait, mais qu'elle n'arrivait ps a nous loclise exactement...

Mes yeux perçant scrutaient le chemin, les chevaux dans le vent, l'épée au poing. Quand je vis ce que je redoutias ; un petit groupe de bandits.
9. 9 bandits.
Trois furent tués par des éclairs, ceux qui tombaient autour de nous.
Je préparai mon arc, dégiaina une flèche de mon carquois, et, 3 périrent ous mes flèches, en tout. En trois flèches, come toujours .
J'en tuai un, le décapitant avec mon épée, et mon cheval en défonça un autre. je liassai le dernier au soin de Dartz.
je n'avais pas ralenti d'un pet.

Nous avions reussi a tuer 9 bandits, enfin 6, sans même ralentir.
Decidemment, la prochaine fois, il faudrait prendre garde a nous.

je continuais ma route, puis déboussolé par cette monotonité du paysage je dit a eifir:

"on est pas eprdu au moins?"

"Impossible de se perdre. il faut suivre ce qu'on ne voit pas, pousuivre l'obscurité, continuer, se guider par le danger..."

"Si tu le dit..."

"C'est que c'est vrai. Continuons !"

Nous étions partis au grand galop. Un groupoe de pillards avait tenté de nous arrêter. Bien sur, ils en vaient eu pour leur argent, morts avant meme d'avoir compris qu'ils nefaisaient pas le poids. Après avoir abbatu cinquante de leurs pairs en bataille rangée, ce n'était pas six bandits a pieds qui allaient nous effrayer, alors que nous étions a chevals et déja lancés. J'étais toujours inquiet de voiur la tempête d'éclairs qui se déchainaitauttour de nous. Ils semblaient frapper sans discontinuer, mais snas jamais nous toucher. Je supposias que c'était du au pouvoir des os, et remerciai intérieurement feu notre fournisseur, qui en donnant sa vie bien malgré lui, en avait sauvé plusieurs, a savoir toutes les notres...

-Combien de temps encore? Rester ici ne me dit rien qui vaille...

"Je ne sais pas. Cet orage me perturbe. Je pense que dans une, deux..;quelques heures, nous y serons."

Quelques heures...C'est vague. Mais je devais vien lui accorder que cet orage, certainement d'origine magique, était fort perturbant. Continuant a la meme allure, je jetais des coups d'oeil rapide tout autour de nous, inquiet.

-En espérant que l'on ne se eprde pas.

"Je pense que nou ne pouvons nous perdre... C'est quoi se gros rocher ou il y a un trou au milieu la bas?"

(c quoi ce rocher ? c'es dans le bouquin, il me semble, non ? pouvez me rapeller, ca fait 8 mois que j'ai aps l le 1,a lors, plz...)


"Nous ne pouvons pas, nous perdre."

hrpg: Le chas de l'aiguille non? Je te laisse en parler, vu que je ne suis pas censé etre déja pasé par la.

(ah, oué, c vrai)


"Le chas de l'Aiguille...Autrefois, quand il y avait la frontière, on était obligé d'y passer.la, je préfère éviter....Mais c'est bon signe ; nous approchons de la sortie !"

"Ah bn si tu le dis..."

"Encore, une fois, c'est que c'est vrai..."

"Très bien allons y messieurs."

Derrière le gros rocher, nous nous apercûmes qu'il était le centre de cet orage terrifiant. Après, les montagnes qui nous entouraient à droite et à gauche s'estompaient progressivement, et l'orage était de moins en moins violent....