L'Ancien Monde, forum RPG sur l'Epée de Vérité
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 Les enfants

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Ellenwen
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Ellenwen


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MessageSujet: Les enfants   Les enfants EmptyLun 7 Mai - 22:39

Ce soir là, comme tout les lundi soir, je rentrais tard. On était en hiver et la nuit était tombée à demi, assez pour que les réverbères s'allument, diffusant de vagues lueurs jaunes. Je venais de sortir du bus -je n'ai jamais su conduire et je crains que ça ne change avec quelques années - et, sans attendre une seule seconde, dans un même mouvement je le contournai tout en remettant la lanière de mon sac de travail sur l'épaule, d'un petit mouvement. Je marquai un très légèrement pause avant de traverser la route, et de rejoindre le trottoir au croisement de deux routes et de prendre celle qui tournait. Je marchais d'un pas rapide, sans être pressé, comme chaque soir. J'aime marcher vite même si mes collègues s'en plaignent. Sur le vague petit bout de chemin qui me séparait de la maison une vague d'inquiétude me saisit. Je me demandai dans quel état je retrouverai la maison. J'accélérai le pas présentant que la soirée ne serait pas de tout repos et qu'il allait falloir faire le plein d'énergie pour contenir celle de ma "petite" famille. Ce qui ne m'empêcha pas de marcher sur le bord du trottoir, jouant au jeu éternel des enfants à ne poser le pied ni sur le bitume ni sur le reste du trottoir, à croire que de chaque côté un gouffre les attendait, la gueule béante. C'était une de mes dernières petites joies d'enfant, les autres ayant été dissipées par les brumes du temps. Une des petites manies que je n'avais pas perdu. Je finis de dévaler la petite rue où j'habite, tournait dans un petit renfoncement gravillonné et poussait le portail, évitant d'un geste de la tête une branche d'un arbuste grimpant. Je poussai la porte et saluai à la ronde. Nos chiennes vinrent batifoler dans mes jambes, je manquais de tomber Je les caressai, les saluai à leur tour pendant qu'elles me tournaient autour. Aucune voix ne m'avait répondu, j'entendai presque les éclats d'une dispute future. Je pouvais sentir l'atmosphère électrique et tendue alors que tout était calme et que chacun paraissait paisible. Je passai dans le salon. La télé était allumée, elle la regardait d'un oeil morne, assise dans un fauteuil l'air aussi motivée que si on lui avait demandé de faire un devoir de math -ce qui était peu dire. Je ne put m'empêcher de lui faire remarquer qu'elle devrait travailler, elle me répondit d'un ton rogue. Je levai les yeux au ciel... Je n'avait jamais eu beaucoup d'influence. Je ne répliquai rien, sachant la cause perdue, tout en me faisant la réflexion que je ne servais décidément à rien, à part peut-être énerver le monde. Les enfants sont susceptibles, c'est bien connu et pourtant je ne pouvais m'empêcher de glisser quelques petites remarques de temps en temps.

Je montai l'escalier d'un pas lasse et découragé. Je m'assis à mon bureau, fis rouler la chaise jusqu'à la porte, fermais la porte en demandant que personne ne me dérange -au cas où quelqu'un m'entende, ce qui m'étonnerait. Tous sourds dans cette famille. Je devais être d'humeur un peu maussade, je me sentais stressée et mon ventre me faisait mal -une des joies d'être femme. Je me plongeais dans mes feuilles, notant, annotant, accumulant les chiffres, les dates. Ce n'était pas mon tour de faire la cuisine, bien heureusement. Je n'ai jamais été très patiente lorsqu'il s'agissait de travailler aussi je du allumer la radio pour me distraire durant les nombreuses fois où je relevais la tête et rêvais quelques secondes. Inutile de dire que mes rêveries étaient plutôt noires. Je m'étirai doucement en remettant en place une de mes mèches blondes et bouclées derrière mon oreille. Je fermai mon travail en cour et prêtait l'oreille. J'entendis une porte claquer en bas. La peur qui me tordait le ventre se fit brusquement ressentir, au point que je me pliais en deux, doucement dans l'espoir d'apaiser ma souffrance. Même de là, je sentais l'orage qui s'accumulait, avant même qu'un mot fût dit. Je continuais à travailler. J'entendis des éclats de voix, je levai les yeux, et décidai de repousser le plus possible le moment fatal où je devrais leur dire de cesser et répondis à l'appel à table que j'arrivais dans quelques secondes. J'espérais qu'il ne m'en voudrait pas. Je n'aimais pas le laisser seul avec les enfants et pourtant... Je ne me sentais pas le courage de descendre maintenant et de les subir. J'avais peur. Comme un animal terré dans son terrier lorsque les chasseurs sonnent le début de la chasse je me terrais dans ma chambre.

Je descendis quelque instant plus tard alors que la dispute battait son plein pour le repas. Je m'avançai doucement, n'ayant qu'une envie : fuir. Je m'assis à ma place que l'habitude m'avait attribué. Me servit et resalai, par habitude. Je n'avais pas faim. Pendant quelques instants tout fut calme, j'échangai un regard avec mon compagnon d'exaspération, Louis, priant pour que cela continue. Je regardai Lucien prendre une bière et en pinçai mes narines de réprobation. Je déteste le voir boire. Même peu. Je ne peux pas m'empêcher de le voir s'endormir sur la banquette, ronflant doucement, une veillée de Noël alors que nous devions le fêter joyeusement en famille. Je me souviens avoir joué au baggamon avec Louis en chuchotant, tous les deux tristes aux larmes mais désireux de ne rien en montrer. J'avais la même douleur dans ses yeux que celle que je savais dans les miens et cela m'avait fait si mal... J'étouffai un discret soupir pendant que je claquai la porte à mes souvenirs qui commençaient à montrer plus que le bout de leur nez et voulaient envahir mon esprit. Quelqu'un reversa un verre d'eau, je ne sais plus qui. Tout est si confus parfois et il me semblait que je flottai si loin de là... La guerre des phrases commença. Pour ce si simple prétexte... Les mots s'imprimaient dans ma tête comme si quelqu'un s'était amusé à les y graver à la pointe du couteau. "Ta journée s'est si mal passer pour que tu sois de cette humeur ? Ma journée s'est très bien passée, laisse la de côté ! Alors qu'est ce qui va pas ? Mais c'est toi qui m'uses, tu m'uses ma vieille !..." Je me sentais au bord des larmes, prête à craquer et à m'effondrer. Même en respirant profondément et calmement je ne pouvais pas ne pas entendre leurs voix. Ces voix aimées et haïes. Mais je devais me montrer forte. On ne peut pas comme cela se laisser à haïr son propre sang. Je me levai et me dirigeai vers la poste radio. Je mis de la musique, sachant qu'ils se calmeraient pour quelques temps. Nous mangeâmes en effet dans un silence relatif. Je ne parlai pas, les observant en silence. Il est toujours curieux de constater que les personnes les plus proche de vous, avec lesquelles on partage le même sang, sont celles qui vous échappent le plus. Je ne les comprenais plus, moi qui les avait vu vieillir, moi qui les avais vu rire, moi qui les avais vu joué. Moi qui avais joué avec eux. Je fis quelques commentaires sur ma journée et la difficulté croissante des épreuves qui m'étaient demandées. Ils firent quelques remarques banales, me souhaitant bonne chance. Je ne sais plus ce qui déclencha la suite. Une bêtise... un mot mal placé... une critique sur un camarade de l'autre... Je ne sais plus... et tout recommença.

Je me pris la tête entre les bras, soudainement affreusement lasse. Mon coeur me faisait mal chaque battement, une douleur sourde s'installa dans ma poitrine. J'avais mal jusque dans les seins. Je me posai une main sur le ventre et tentai de rester stoïque. Je sais bien faire. J'essayai de dire un mot, l'éclat de leur voix me coupa la parole. Et comme tout les soirs, je finis par me mettre en colère. Je les traitais de gamins, ce qu'ils sont je le sais bien. Je ne peux rien dire d'autre. Ce sont des enfants, capricieux, mal élevés, enfermés dans leur royaume de peur et de souffrance. Ils se ressoudèrent immédiatement pour faire front commun contre moi. Ironie de la chose c'est une des seuls choses pour laquelle ils font face ensemble. Ils me renvoyèrent à mes livres et à mes chiffres, disant que je me mêlais de ce qui ne me regardait pas. Je réussis à garder mon calme. Il est parfois dur de se fâcher pour de bon et d'envoyer balader sa propre famille. Et pourtant... ces histoires, on les subit, on en souffre, on en pleure, on en crie, on les nie... on devrait pouvoir parler au moins avec ceux qui les subissent aussi. Mais j'avais perdu la guerre. Comme tout les soirs... Comme tous les soirs je n'avais plus rien à dire. Comme tous les soirs la colère, la douleur, la peur manquèrent de m'étouffer. Et comme tous les soirs je ne dis rien, n'en laissais rien paraître. Je capitulai et montai dans ma chambre dans laquelle je m'enfermai. J'avais toujours mal. Comment ne pas avoir mal ? Je passais sous la douche. De lourdes larmes roulèrent en même temps que les gouttes d'eau chaude, je sentais leur gout salé dans ma bouche, je sentais leur douleur qui me brulait les yeux. J'aurais voulu tout laisser tomber, partir, loin. Fuir. Fuir. Prendre mon vélo et partir sans jamais m'arrêter. Fuir... Je retombai dans la réalité. Je n'avais pas le droit. Je n'ai pas le droit de les laisser comme cela, sans ressources, sans rien. Je ne pouvais pas. Je ne devais pas. Tant de contradictions, de volonté mortes-nées, tant d'espoir immatures, tant de déception virvoltaient dans mon esprit. Je me calmai, calmai les tremblements qui me parcouraient.

Je sortis de la douche, me rhabillai et repassai dans ma chambre. Je me replongeai dans mes livres et continuai d'écrire. La vie devait continuer. Comme tous les jours. J'avais allumé ma veilleuse et elle ne dispensait qu'une lumière chiche. Je me sentais incroyablement vieille, usée jusqu'à l'os. Mes yeux se fatiguèrent vite, comme tous les soirs. C'est incroyable de voir à quel point j'ai besoin de sommeil. Comme un enfant... Je m'assis quelque temps sur mon lit et me mis doucement un concerto pour violon. Je me roulais en boule sur moi-même, les yeux clos. La musique m'emporta comme si je faisais corps avec elle, je n'avais plus aucune conscience du monde alentour. J'étais dans mon monde. Là ou personne ne pouvait m'atteindre. Là où tout était calme. Là où j'étais en paix. Dans un flot de douceur qui me rappelait de vagues souvenirs d'amour maternel. J'étais si bien. Le réveil fut brutal et douloureux. Un éclat de voix qui montait. Je fermais les yeux. Ils criaient... mais pourquoi étais-je la seule à avoir aussi mal ? Pourquoi les larmes coulaient, comme tout les soirs pour eux ! Le sang... le sang... j'aurais voulu qu'il cesse de couler dans mes veines. La haine que j'avais pour eux deviens haine pour moi, contre ma faiblesse, contre ma douleur, contre... contre je ne savais pas quoi. J'avais besoin de haïr.N'importe qui, n'importe quoi. Je me mis au lit et enfoui ma tête dans mon oreiller et éclatai en sanglots. J'étais seule dans mon lit, comme tout les soirs. Je ne voulais plus me réveiller. Le monde était devenu enfer. Je ne pouvais plus vivre, je ne voulais plus vivre. J'avais envie de vomir. Un grattement se fit entendre et mon frère, Louis, entra. Il me regardaient et je lus dans ses yeux, non pas la même douleur mais la même lassitude. Nos parents en bas hurlaient. Ces enfants ! Ces enfants qui nous ont donné le jour. Ces gamins incapables de se séparer, incapables de voir le mal qu'ils se faisaient, incapable de voir le mal qu'ils nous faisaient. Et nous, pauvres pions au milieu de ces enfants, prématurément vieillis peut-être, cyniques. Mon frère ressortit sans dire un mot. J'ai mal. Ils ont mal. Je crois qu'ils ne veulent pas vieillir, voir leur déchéance dans leurs yeux, ils ne veulent plus de la routine qui les emprisonne et qui sera mienne dans quelques années. Ils ne veulent pas voir que l'amour n'est rien et qu'ils ne s'aiment plus. Ils ne veulent pas voir que les années de vie commune les ont aigris. Ils ne veulent pas savoir. Ou peut-être n'est-ce que mon imagination. Peut-être que... mais au fond qu'importe. Parfois les raisons ne comptent pas quand on ne peut pas les changer. Ils s'accrochent l'un à l'autre comme des bêtes hargneuses pour ne pas voir que leur univers est détruit, pour faire croire qu'ils ne peuvent rien faire à cause de nous, qu'il ne faut pas qu'ils nous laissent, pour nous faire croire que tout va bien. Et nous sommes pris, entre ces deux enfants. Et cela n'aura jamais de fin. Ils ne veulent pas savoir. Ils ne veulent pas. Ma douleur se calme doucement. L'habitude. Je ne pleure plus. Je me serre contre une vieille peluche, un gros chat consolateur. Je laisse le sommeil venir. Libérateur. Demain sera un autre jour. Demain... J'irais au lycée. Demain je reverrais mes "collègues" de classe que je n'aime pas. Demain... demain... Je m'endors.


Dernière édition par le Jeu 10 Mai - 19:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyMar 8 Mai - 16:24

bon, les travaux sont finis. vous pouvez lire Wink
Pour ceux a qui ça rappelerait quelque chose, j'avais déjà écrit ce texte, je viens juste de le retoucher, presque entièrement.
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyMar 8 Mai - 21:57

Presqu'entièrement dis-tu ?
J'avais cru que c'était en fait un autre texte sur le même thème !
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyMar 8 Mai - 22:19

non, quand tu compares à l'original beaucoup de choses sont les mêmes. J'ai juste développer un peu et supprimer des passages mal dit et peu percutant pour les remplacer par d'autres.
(si on parle du même)
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyMar 8 Mai - 23:44

Je crois qu'on parle du même, même si ça fait bien longtemps que je ne l'ai pas relu.
Je te confirme donc, ça percute !
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyMer 9 Mai - 8:56

ça percute ?
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 13:37

Ben oui : le fait de reprendre les passages que tu ne trouvais pas assez "percutants" a eu de l'effet.
Je me permettrai de demander cependant comment il se fait qu'une jeune femme, inserrée professionnellement puisqu'elle a des collègues, habite encore chez ses parents : puisqu'elle semble avoir une certaine autonomie financière, qu'elle les plaque donc pour vivre sa vie sans les subir de manière quotidienne !
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:22

collègues de classe
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:28

mwais.
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:32

c'est mal tourné, je sais
mais normalement c'est ça
j'édite un peu
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:35

je t'ai à l'oeuil Wink
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:39

ah bon ?
(j'ai édité, tout à la fin)
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:45

ça ajoute une situation de retournement.
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:46

pk ?
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:49

ce que l'on suppose être des collègues de travail mais qui ne dont on n'apprent à la fin qu'ils ne sont "que" des camarades de classe.
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:50

ça rend la narratrice plus "enfant" ?
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:52

ça place son adultitude dans un contexte d'usurpation
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyJeu 10 Mai - 19:54

c'est bien
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyVen 11 Mai - 20:11

Je me doute que c'est fait exprès
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MessageSujet: Re: Les enfants   Les enfants EmptyVen 11 Mai - 20:31

oui, bien sur
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